Partager Posté(e) 1 juillet 2020 Je sculptais mon amour dans le béton armé D'une transe atlantique où un cul de satrape Craque et croque le cœur à ton corps arrimé Dont le chemin d'adieu s'enferre tout à trac ! Lui sculptait un solo de guitare au larsen Qui te vrillait les nerfs et te forçait au lit D'une rivière salée en assoiffant ta peine Quand il coursait son rêve empiffrant sa folie. Tu m'as quitté pour lui, alors c'est au prix fort Que ta chair dévastée sculpta, impitoyable, Les recoins de tes vers, elzévir de la mort. Je me fais le sculpteur d'un marbre craquelé Dont je taille en mon for la fausseté friable, Remords d'un pas de trois à jamais aliéné. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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