Partager Posté(e) 22 juin 2020 La ville allait sans cesse, et revenant vers elle En prise aux filaments d’un ciel écarquillé, J’allais taire un silence, et t’entendre crier Le temps qui paradait notre amour qui chancelle. Le temps qui paradait notre amour qui chancelle Aura de nos rancœurs effacé la mémoire, Et ces mondes apportés à l’oubli ne décèlent En ta voix que des sons qui me sont illusoires. Les soupirs hallali se déversent en nos pleurs, Et nos larmes impudentes ont le charme des leurres : La ville allait sans cesse, et revenant vers elle En prise aux filaments des astres, de plus belle… 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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