Partager Posté(e) 20 juin 2020 Tu m’as dis que ces mots avaient trop de panache pour passer la barrière de mes lèvres Je ne peux que t’écrire alors, L’étonnante désolation filiale Le cimetière Ou comment j’ai frotté mes jambes l’une contre l’autre dans le froid de janvier L’onirisme violent de mes souvenirs Violant Mes espoirs d’enfant Comment tu n’as pu me ravir Cette photo prise au hasard Dont le bazar est romantique car s’y trouve Un tabouret en bois et des livres qui s’amoncellent La beauté Prise au hasard La double vie de Véronique et les fleurs dans l’allée Qui ne s’orne d’élégance que parce qu’elle mène ailleurs Dans la vie des autres Un tintement t’arrache à moi Me laisse seule et désolée Par deux fois Un père s’est dérobé 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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