Partager Posté(e) 19 juin 2020 La lumière, sans doute, a sa source en non coeur Pour qu'un ciel si clair brusquement s'obscurcisse Et que du paradis nous glissions aux abysses. Car cette nuit de juin le ciel était si clair, Le ciel était si beau et j'étais si heureux. Quelques heures plus tôt, tu étais avec moi. Tu riais et pleurais, tressaillais dans mes bras. Lorsque soudainement ta porte s'éclaira. Et le baiser qu'alors je vous vis échanger Précipita mon coeur au fond de ce brasier. Ta longue silhouette tout contre lui serrée, Tes mains sur ses épaules et ses mains sur tes reins. Mon coeur ne battait plus et mes yeux embués, Par l'affligeante image restaient hypnotisés. J'étais sans jalousie et j'étais sans colère, Mais la vie, de mon corps semblait se séparer. Etranger à moi-même la regardais partir Sans par le moindre effort vouloir la retenir. La nuit était venue et jamais plus en moi Ce soleil de minuit ne se rallumera 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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