Partager Posté(e) 17 juin 2020 (modifié) C’est la nuit le silence et le rythme assourdi De la ville qui dort à l’heure où je m’éveille Le rêve qui m’échappe et s’enfuit en charpie Sont le présent vécu aux marges du sommeil Alors il faut meubler par des mots inédits Le vertige du temps qui me porte conseil Et chasser les démons pourvoyeurs d’insomnie En cherchant la formule à nulle autre pareille Je me trouve devant la page d’ignorance Où je voudrais briller mais c’est peine perdue Car je sombre déjà dans la mer d’inconscience Et je veux m’y noyer en désir éperdu De renaître au matin tel un nouveau phénix Insensible aux attraits de la déesse Nyx Modifié 17 juin 2020 par Jeep 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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