Partager Posté(e) 17 juin 2020 Vous mourez et voilà que je bâille Vous rendez au silence sa monotonie A l’horrible sourire de la mort qui vient Vous mourez en moi Inoubliable cortège D’un souffle carmin et lent Vous mourez et voilà que je bâille Comme l’océan sous l’écume Et l’horrible sommeil au rêve évadé 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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