Partager Posté(e) 14 juin 2020 Au-delà de la dune on ne voit que du bleu Celui de l’océan nappé d’or et frileux Qui se fond au lointain avec celui des cieux Litanie de pastels pour le plaisir des yeux A nos pieds que du sable, étendue vaste et claire Qui s’étend jusqu’à l’eau rugissant de colère Les rouleaux lancinants claquent avec ferveur Murailles déchaînées aux intenses clameurs Ourlés dans la lumière ils déferlent sans fin Grondements incessants jaillissements d’embruns Plus au loin l’océan et son étroit sillon Qui scintille au soleil en mille croisillons Symphonie éternelle aux accents infinis Fringante allégorie d’une fronde impunie Cette mer qui nous cingle au gré de son écume Laisse à tout rêvasseur un parfum d’amertume 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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