Partager Posté(e) 3 septembre 2018 C’est un tout, ce n’est rien, Une ombre claire qui va, Un sourire en déclin, Le bruit morne de nos pas. C’est un tout, presque rien, Ton front, tes lèvres sans mot, Un jour pâle qui s’en vient En un dernier sursaut.Et je regarde sans cesse Aux portes des levants, Comme on cherche une adresseEn son mystérieux chant. Ainsi tournoie l’absence, Un rêve encore enfant, Des brumes avec aisance Aimantées au néant. C’est un tout mais c’est toi, Douce, qui creuse ma douleur À cet endroit qui bat Où vibre si fort ton cœur. 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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