Partager Posté(e) 2 septembre 2018 Il est temps que je trouve bobonne se disait le crocodile en regardant la belle Maryvonne s'acheter des bottines de ville. Il lui offrit un sac assorti mais elle rêvait d'autre chose de chansons et de poésie et d'un bouquet de roses. Il n'en crut pas ses écailles quand il la vit enlacée avec un lézard des murailles qui lui faisait ses lacets. Le pauvre croco, si fier de son cadeau, fut fort déçu de cette ingratitude il s'en alla, le cœur bien gros, pleurer dans les zones humides. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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