Partager Posté(e) 2 septembre 2018 La plage enfin déserte retrouve ses parures de nacres et d'algues encalminées, cœur battant. Ô mer aux festons de dentelle, ton haleine m'enivre, ton murmure au creux de mes reins me berce. Musique marine que seule ose troubler la mouette insolente. Mais où sont donc partis tous ces pas sur le sable ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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