Partager Posté(e) 31 août 2018 Poé-ville L’air aura ce rouge abandonUn peu câlin et très clair Qui fait briller les chevelures des femmes Dans le dédale des ruelles secrètes Ton sourire brûlera Telle une empreinte de soleil Sur la ville fière À mes doigts Naîtront des bouquets sauvages Ivres à force de douceur Oiseaux argentés Danse arabesque sur l’azur La parenthèse du temps S’enorgueillira de nos rêves échevelés Parsemés de ces mots crissants Dans le reflet de gorge des fontaines Et j’aurai ton regard Pour éclairer les heures Battant à contre-courant D’un siècle de rapaces ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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