Partager Posté(e) 30 mars 2020 À reculons Les rivières frénétiques Parlent de parfums Poètes infatigables À genoux Devant le miroir Qui mène au combat Feuillage translucide Sans écorce ni nervure Dans le revers sucré D’un cortège En trompe l’œil Le désespoir Est un fardeau sanglant Sur les épaules des transhumances L’attente Imperturbable et docile Est en devenir. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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