Partager Posté(e) 25 mars 2020 (modifié) On croit saisir son bonheur Mais c’est un astre brisé Les heures sont brûlées De tant de rêves éteints On nous jette la chaîne aux pieds La peur en vil esclavage car l’on se voit mourir Si près de la fontaine La vie nous désaime Fait glisser ses serpents Dans la tiédeur du soir Le malin aux yeux tranquilles Sait si bien feindre le sommeil Reste le petit soleil intérieur le jardin abrité d’orages dans ce coin de cœur vaillant qui résiste aux ténèbres Dans mon vertige de nuit Agité d’incertain Je souris encore A ce vœu exaucé De vous tenir la main Mes enfants, mes trésors … Modifié 26 mars 2020 par Lina 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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