Administrateur Partager Posté(e) 22 mars 2020 Friches industrielles dans de sombres décors aux couleurs urbaines Solitude des ruelles pour des ombres d’accords sur le mur des peines Graffitis décolorés bavant des S.O.S. sous une triste lumière blafarde Portables égarés crachant des SMS sous une pluie de hallebardes Taguons cette prose égarée sur l’horizon de nos aciers contemporains Dansons jusqu'à l’overdose sur cette pulsion glacée qui nous étreint. Évoquons sans relâche les tristes tropiques de nos idéaux avortés Même si nos yeux ouverts sont là pour pleurer et nous aveugler Invoquons ces cohortes de personnes parties depuis longtemps Dont les noms résonnent en orage dans nos cerveaux fuyants. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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