Administrateur Partager Posté(e) 29 août 2018 De la poussière s'accroche aux neurones périoxydés. Un horizon brumeux s'évapore en pleurs dans le regard. Dans le miroir déteint, une vieille carcasse usagée. Réalité transpirante de deux mondes déjà hagards. L'impossible transhumance agonise, goût d'inachevé. Les pieds à jamais figés dans le noir goudron de l'IRL. S'étirer jusqu'à la dislocation mais rire à en crever. Onanisme et frustration enlacés dans le virtuel. Errance de toute éternité dans des pays déjà oubliés. Sur la cartographie des déments, la réalité est vierge. La pointe élimée du crayon ne saurait la déflorer. Comme toute frontière, un hymen telle une alberge. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés