Partager Posté(e) 1 février 2020 La lune teintée de cuivre boutonne le soir morose Et le vent frais taquine La forêt spectrale Qui tremble et se grise de ses lents sortilèges Mes rêves blessés tour à tour grelottent et s’enfièvrent d’agonisants désirs de larmes de navrance La nuit est pleine et dense L’hiver gifle les bois Mon âme inapaisée cherche un havre où dormir et mes chairs lactées si souvent dévorées sont toujours renaissantes de tendresses recluses Aux cieux dispersés aux horizons voraces je murmure, craintive, l’énigme d’où je viens 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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