Partager Posté(e) 18 janvier 2020 Encore une nuit épaisse sans blondeur de lune où me naît un soupir qui me vide toute l'âme Mes pensées diffractées dérivent et se diluent et me voilà, flottant bras ouverts, corps en croix, tous espoirs naufragés plus fuyants que le sable Cette vie incommode me fait tant défaillir je reviens de mes rêves les mains griffées d'envies et de désirs niés tombée au bout du temps de la cime d'un ciel aux pierreuses lueurs et mon coeur est béant dans l'attente d'un autre vous me croyez vivante à bien y regarder vous y lirez ma peine aux fracas insensés 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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