Connecté Partager Posté(e) 13 janvier 2020 (modifié) Je ne sais rien de toi si ce n'est que je t'aime, Qu'en toi un lémurien m'enchante de ses ors. Ma crinière d'argent au petit matin blême Réveillera l'âme qui anime nos corps. Alors je lâcherai d'antiques animaux Dont l'idéal attrait se prendra en des rets Quand l'humain de passage, ôtant les oripeaux de son for intérieur, du beau cherche le vrai. Nous ferons de nos mains les vaisseaux de nos cœurs, De nos bouches en fleur des liqueurs spiritueuses Et dans un fol épi, nous fondrons en un pleur, Tandis que l'astrojet nous entraînant ailleurs Pour piqueter le ciel où l'ourse lumineuse Attend de consteller les deux amants qui meurent. Modifié 13 janvier 2020 par Marc Hiver 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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