Partager Posté(e) 22 décembre 2019 À l’étrave des kwassa kwassa Dans la nuit anthracite Et l’onde bleu marine La lune pâle S’étale En flocons de farine Du plus fort de l’océan Un cri d’espoir de peur S’étouffe Dans les râles des moteurs Rien ne pourra jamais Ni le sable de Moya Ni les eaux du Dziani Ôter la beauté froide De leurs yeux meurtris 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Il n’y a aucun commentaire à afficher.