Partager Posté(e) 29 novembre 2019 (modifié) Tu avances grise d’airain de noir La mer garde jalousement les éclats où plongeraient tes yeux Comme un filet Un bois flotté Tu suis un rivage où nul miroir ne voit ton image Si tes yeux sont clos Qu’importe le tissu des ondes qui se tend aux rives Ce rosé de brume qui marie les eaux La déchirure du ciel qui exhale le bleu La pluie s’abat en noces de feu sur le carmin de l’aube Modifié 29 novembre 2019 par Marioutch 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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