Partager Posté(e) 28 novembre 2019 (modifié) La pluie la sereine ivresse en ce tranquille Paysage où selon le mystère des jours En survol des prairies et des bois alentour La vision du faucon à l'humeur versatile Ne vient troubler la paix ni le temps immobile Ni les êtres vivants ni leur calme séjour C'est comme si la peur avait fait un détour Pour quitter la campagne et fondre sur la ville À travers la pluie je vois l'éternité De la nature en pleurs au milieu de l'été L'immanence du tout auquel rien ne s'oppose Et fugitivement je crois faire partie De ce monde en arrêt avant que ne s’imposent Le retour au réel et la fin de ma vie Modifié 29 novembre 2019 par Jeep 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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