Partager Posté(e) 25 novembre 2019 (modifié) Là où tes mains brodent le silence Chavirent les bateaux blancs Je tourne le dos au sommeil, j'enlace ton absence Vois le sang que j'ai sur les mains Toutes ces lunes trahies Sens en mon sein gronder la terre La vague furieuse, l'ouragan souverain Embrasse moi encore Là où j'étais enfant Là où je deviens femme Là où il n'y a plus rien Que le vide de ces nuits pourpres Et violées Modifié 25 novembre 2019 par Mohè Faute 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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