Partager Posté(e) 20 novembre 2019 une parole une seule un nuage à travers une vitre sale où reposer un front brûlant une parole une seule un bonbon de miel où apaiser sa gorge serrée entre d'étranges barreaux un mot vert véronèse dans une forêt de mots wagons froids déjà un goût de fer dans la bouche muette et tremblante sur la banquette sale criblée d'adieux la parole , le mot, le geste, ne sont pas venus. Les seuls qui auraient retenu ce train. (J.E. Novembre 2019) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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