Partager Posté(e) 20 novembre 2019 (modifié) J'ai fait ce rêve inouï d'être caméléon : Mon vit comme sa langue à l'autre bout du lit Visait — quelle folie ! — son vagin endormi, Y pénétrant de loin sans tintouin d'orphéon. La chose rétractile attirait vers mon corps Ce corps en son éveil. Alors je l'embrassais. Jouant de ce yoyo, le fil, je déroulais Pour l'éloigner de moi et l'aspirer encore. Je brunissais à caresser une peau noire ! Carnation qu'on dit jaune et j'adoptais l'Asie. Quand leurs joues rougissaient, je piquais un bon fard ! L'amour caméléon n'est pas pour le couillon Qui ne croit plus en rien et donc sans poésie Va jusqu'à se mettre la rate au court-bouillon. Modifié 21 novembre 2019 par Marc Hiver 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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