Partager Posté(e) 9 novembre 2019 Huit jours ou peut-être dix le jour et la nuit se confondent des murs aveugles enferment ma vie j’entends que ça gronde au fond du monde derrière la porte ils chuchotent une langue de guerre des mots aiguisés en bris de verre des mots radicalisés j’ai mal à la plaie pourrissante qui me dévore la cuisse j’ai mal à la liberté absente que des pays anéantissent en tuant en muselant ils me privent d’écrire de témoigner du pire 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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