Partager Posté(e) 30 octobre 2019 Oui je l’entends ce vieux piano, O Debussy,O Liszt, je vais au recueil consolationSous le blanc et noir d’un clavier, mauve saison,Il pleut des notes, des notes de toi, de nuit.Tout est sombre et beau comme sont les nuages,Ma fenêtre a des lendemains en gris bleu,Des vents ondulent le charme d’oiseaux gracieux,Des chants lointains, en de vibrantes images.L’eau claire, au sablier figé dans mes mains,A des lèvres musiciennes au clair matin,Au carillon roux d’un automne endeuillé.Quelques notes graves, ma vitre se givre,Au jardin, murmure l’hiver dans les allées,Et mon beau piano, ce que c’est que de vivre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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