Partager Posté(e) 27 octobre 2019 Ça s’insinue en moi sourd et sournoisement Comme une sorte d’air avide empoisonné Ça grignote le corps sordidement Ote cette fragile croyance de sécurité Un petit bout de moi se ressent hologramme Transparente, inconnue ou encore hors d’atteinte Protection illusoire, morne et feinte cabane De cette brutale noirceur je dépose une plainte L’afflux du vide souffle, fait fondre le Moi Peau L’oiseau de proie fonce vers les furieux lambeaux Du corps assassiné, quelle sombre jachère Il ne reste plus rien de cet amas de chair 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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