Partager Posté(e) 17 octobre 2019 (modifié) Le quatrième n'existe pas à l'extrémité du deuxième lorsque tu ouvres la porte et fermes la fenêtre le balcon prolonge ton envie de continuer mais comme une machine qui vient se taper et finit par faire demi-tour tu retournes dans le salon La cage d'escalier est en bas avec son plafond Tu ne peux pas descendre Et le vieux me regarde et ma mère reste assise La pièce pourrait paraître vide mais elle ne l'est pas car à chacune de mes émotions elle est caméléon Ma mère en missel mon père en prunelle ces deux-là comme figés dans du sel ils ne se retourneront pas elle prie il boit je ne comprends pas L'étage supérieur Je suis prisonnier de mon impression un enfer sur mesure ô combien mon dieu diabolique à souhait et je ne sais plus si je suis mort ou vivant s'ils le sont ou me jouent un tour de cochon Modifié 18 octobre 2019 par Eobb 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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