Partager Posté(e) 17 août 2018 C’est un silence qui chante, Je l’entends, habillé d’incertitude, Me connais-tu, toi qui vas Dans le couloir étroit D’un jour, Me connais-tu, toi qui figes En cet instant cette douleur Qui te ressemble, Si fragile à la lumière, Si profonde au tombeau, Y viendras-tu encore Caresser ma conscience, Y viendras-tu encore, Venu de la lumière. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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