Partager Posté(e) 10 octobre 2019 La sueur souillée Par l’écho de la misère Ruisselle sur l’ombre Telle la détresse Au cœur de la meule Que le granit effrite Sans fleur ni parfum L’enfant épuise l’obscurité Debout en profondeur Dans les jardins ensanglantés Par de fougueuses rêveries Les victoires seront fougères Douces à nos paupières Douces entre nos doigts Comme une flamme ardente Dans la crinière du vent Le bonheur se dévoile en sursaut Lorsque claquent Les portes entrouvertes Et les volets mi-clos. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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