Partager Posté(e) 9 octobre 2019 (modifié) Là-bas oui là-bas Très loin de la connaissance La musique déracine Le cri des abîmes endormis Au-dessus des lits des rivières Se croisent les doigts affûtés Par l’espoir que les lumières Aux soleils couchants Brouillent les yeux mouillés C’est en entier Que les miroirs mystérieux Reflètent les naufrages Crevant ainsi les yeux des colombes Incroyable gouvernail Enivrante tristesse La robe des ouragans S’amarre aux sanglots de la mémoire Ne faudrait-il pas attendre Attendre encore un peu Avant la récolte. Modifié 9 octobre 2019 par Pierre 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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