Partager Posté(e) 7 octobre 2019 Durant la nuit La cathédrale végétale S’est parée de blanc Et ce matin Je la découvre Nimbée de gris Intimidés Presque gênés Mes pas feutrés Effleurent la neige fraîche Soudain, je m’arrête Pour mieux goûter le silence Un silence qui plane Royal Le vert des grands sapins Epouse le blanc des lys célestes La nature et ses créatures Tout paraît si calme, apaisé Le vent retient son souffle Complices délicats Les oiseaux même se taisent Une tendre bulle de sérénité Un pur moment d’éternité Michel Le paradis est-il blanc ? A Michel Berger qui nous manque tant… Danivan (février 2009) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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