Partager Posté(e) 1 octobre 2019 (modifié) Cheveux épars et chairs nuesque rien n'apaise en leurs tourmentsDésirs jaillis, se recourbant,fougueux, piaffants, transe inconnueDoigts fous délivrant les frissonssur peau tendue de satin blancle feu rampant comme un poisonmorsures d'un tel embrasementDans cette chaude aimantations'ébauche un lien de démesuretoutes eaux en ébullitionet tant d'envies s'y préfigurentDes clapotis des impatiencesdes corps noués en épissuresle doux le cru en alternancejusque dans l'ultime échancrure Modifié 1 octobre 2019 par Lina 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés