Partager Posté(e) 19 septembre 2019 (modifié) Oh ! toi le bon apôtre Aimant les patenôtres, Tu ne vaux pas la crotte Écrasée sous ma botte. Et toi, gente marâtre, Tu la trouvais saumâtre Que le prince la mate, Fillâtre aux belles pattes. L'amour est dans le pré Toi, tu vis au plus près Du grain doré du blé Séparé de l'ivraie. Toi qui viens de là-bas Entre donc sous mon toit Où se réchauffera Ton si charmant minois Une nuit avec Maude Du glamour à la mode Caressé par ma paume Au soyeux de sa pomme. Point ne confond le brin Dans le sud avec brun, Alors qu'au nord le brun Se dit comme le brin. Tiens ! Le calamar frais, S'il est bien préparé, Flattera le palais Sans trop à mastiquer. Et sur l'île de Ré Il faut être givré Si ta belle adorée Joue du Ukulélé ! En effet Cette fée Enchantée Fors ses rets, Au carcan la serrer Au risque de lasser. Ne défais tes lacets Qu'au joli mois de mai ! Aux hospices de Beaune Partant avec la bonne, Penses-tu que ta môme N'en fera pas des tonnes ? Ta beauté qui me botte, Ma Vénus hottentote, De ma hotte tu ôtes La rota de mes fautes ! Crois-tu que Venise Rime avec bise ; Que Donald Trump Nous trompe ; Qu'en me faisant coucou, Ma femme me fait cocu ? Si le quatrain fout le camp Que le sizain décampe, Alors l'hippocampe Sort du bain en Descamps ? Je m'arrête, Car ma tête Est chosette, Ma quéquette Toute blette. Modifié 19 septembre 2019 par Marc Hiver Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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