Partager Posté(e) 15 septembre 2019 Les venins que l’obscurité Dispersent pour convertir L’essentiel du visible Qui à force de prières S’acharnent d’intelligence Et de labeur Seront si insignifiant Pour le sourire des enfants Qu’il faudra et de loin Les flatter sans réfléchir Pour être un tant soit peu crédible Une goutte de poison Ne peut troubler l’eau d’un moulin Elle s’écoule sans avoir d’heure Mais n’est jamais en retard Pour se dérober Et si par hasard Le désir nous vient Soyons prêt au tourment Pour distraire le silence. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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