Partager Posté(e) 28 août 2019 Dans le vert des menthes sauvages chaque jour j'émiette ma douleur je la sème dans mes voyages sur chaque quai, je laisse un pleur dans les violines des soirs de solitude je monte seule la colline escarpée la pente est rude à la montée mais je redescends, le cœur gai vers ma cabane, cachée dans le thym il y a toujours une chèvre sur le perron un chien qui me lèche la main et un chat qui fait le fanfaron dans le vert des menthes sauvages chaque soir je laisse couler un pleur bientôt se finiront mes voyages la brise bise encore dans mon cœur. (J.E. Août 2019) 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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