Partager Posté(e) 16 août 2019 Je m'égare mon âme au vertige des morts Tes ronces tes regards ignorés de l'enfance Tu ne les connais plus mais je devine encore Ton visage escarpé que trahit ton silence C'est aussi ton royaume au déclin de la mer En prochaine alluvion posée par la marée Déjà bruissant d'écume au souvenir amer Des lévriers cruels qui nous ont séparés Le vent qui nous foulait au delà de la vie Une feuille en reflet qui fait trembler ton âme Ton regard esquivé sur la photographie Je ne puis regarder un jardin sans penser Au pays clandestin où s'éteint toute flamme Lorsque j'étais toi mère en amour insensé 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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