Partager Posté(e) 15 août 2019 Fuis comme l’espérance, Ce soir le fard sombre des tempêtes s’étale sur la falaise, et s’engoue létale la rumeur belliqueuse des hivernantes rieuses. L’Ankou remonte les coursières poissées de vase épaisse, sculpte les plis visqueux de l'estran. trace l'oracle funeste des vents. La nappe cardée des nuages gris tombeau trempe sa tristesse trouble dans les eaux poussières du pertuis. Fuis comme les mirages tracés aux fusains et les marins à l’ancre. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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