Partager Posté(e) 1 août 2019 La moto faucheuse et le poteau fâché Des seins dessinés décimés par le ciment acheté Le facho moteur et le macho moqueur La farce cachée de l'extrême maladroite de ma Soeur Le Père verdit et le Maire assombri M'accusait ma cousine m'accablant m'a compris à Beyrouth A sombré dans la disette à l'ombre d'une gloriette près de la déroute Son ascèse me confond je me mets sur mon trente et un Plus un divisé par deux égale seize six derrière un Campé dans un caravansérail seul au Monde entier Dans la paix dans un camp campé en position d'humilié Près d'Alep lui a passé un savon d'un coup de sang Prédateur des acteurs d'un printemps confisqué arabisant En vain ma cinquantaine a de la peine A vingt ans dans mon élément mes cinq sens dans l'arène Me tarde l'âge sexagénaire des racines et des ailes La moutarde me pique le nouveau-né prématuré sans nouvelles Le sexe a dégénéré dans l'or gît l'argent Roi Le sexe a généré de l'argent roi gisant au fond du Moi A sa santé je reçus mon hôte au rite du thé Sa santé m'inquiète prostitué ôtage piégé la main au panier Je méditais sans complexité sur mon château hanté Entêté je remets du thé dans mon eau et un nuage de lait De fans d'hommes asservis aux rixes en temps de paix Je remets de l'eau dans mon vin en vain je m'en vais Le temps fuit tu t'enfuis je m'en fus dans la nuit des temps Pourtant je suis là pour toi pour tout pour nous pour la pluie le vent Autant en emportent les vents d'Autan et du Sud Du recul je me détâche de ces tâches qui entâchent ma solitude La faute aux cachets la photo aux matons En prison né en liberté dans les prés rient les moutons Eléphanteau fils de fossiles cochon né des Aldudes Il sentait il s'entêtait il têtait au sein de Sainte Prude Combattants des temps combattus perdus détendus Du strict minimum ce con tentait le flux tendu L'arrêt public de la République amochée A fauché la moto cachée du soldat inconnu casqué Le fauteur de troubles s'attend au paradis Cent ans de solitude la guerre s'entend entre pourris Blanchi nourri par les eaux nettes du gentil nanti Facho macho l'analyse à chaud évoque les nazis Sans cible il vise le vide éternel de la vie Son objectif photo matait sans opposer son avis Feu de recul à distance dans la nuit mouillée je pense je suis les feux dans l'A10 Dernière station avant les chemins traversés de boue allongés de peuples liés par leurs destins croisés de vices J'avance réfugié dans l'auto-dérision de ma mémoire migrant mes misérables mythes Je ne recule devant rien ce luxe du temps perdu à ne rien faire de bien ni vite Mi-grand mi-gros à demi entier à moitié marié mélangé mixé Ma moitié devenue entièrement nue mon foie mi-cuit canardé de vérité O j'aime et l'eau coule de ma source génétiquement vérifiée O je t'aime et l'on coule dans la source organiquement modifiée Mon âme s'attend à être vendue au diable Mon âme animale au taux cacheté équitable. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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