Partager Posté(e) 28 juillet 2019 Avec pour compagnon un cheval de labour Il voyagea longtemps et franchit des pays L’opprobre n’était rien et rien les avanies Offertes par la plaine au terme des beaux jours Car il dormait le soir indifférent et sourd Dans quelque défilé où l’avait pris la nuit Couché contre la bête au flanc chaud alourdi Chair contre chair unis par un profond amour Mais un soir où pourtant le soleil n’était pas Plus rouge que souvent en annonçant l’orage Le cheval ne donnant aucun signe de rage Mordit soudain la main douce qui caressait Où est la plaie des corps vivants si quelqu’un sait La réponse qu’il la guérisse de ce pas Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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