Partager Posté(e) 18 juillet 2019 A la palette vierge qui s'étend sous ma main, au pinceau capricieux, à la plume frivole, aux cordes muettes qui espèrent mes doigts, à la flûte de pan qui caresse ma bouche, et aux condors qui passent ... je laisse valser ma solitude aux flancs des montagnes un rire frais résonne entre les cascades blanches et la lune, soudain, envahit tout, même l'exil. (J.E. juillet 2019) * bien entendu, si j'avais pu, j'aurais mis la musique qui va avec ... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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