Connecté Partager Posté(e) 11 juillet 2019 Et puis tu es venue Vers moi tu t’es avancée Et je te voyais nue Tes longs cheveux dorés Retombant sur tes hanches Tu flottais Une aura rendait flou Tout ce qui t’entourait Tes deux bras d’un blanc dous D’eux-mêmes s’entrouvraient Et parmi les pervenches Tu flottais Ta longue silhouette Liane fascinante Parmi le cri des mouettes S’avançait ondulantes Portée par le ressac Tu flottais Tu flottais et ton corps Se rapprochait de moi Se soudait à mon corps Et lui donnait sa foi Et là, près d’une flaque L’on s’aimait Et sur le sable découvert Ingénument nue Merveilleusement nue Près de mon livre ouvert Impudiquement nue Tu dormais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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