Partager Posté(e) 8 juillet 2019 Flottait un vent poussé par les rêves, En savais-tu l’ultime destin Dans le reflet si pâle de tes yeux, Savais-tu la roche vieillie Sous l’assaut du temps effréné Et que sous l’arbre blessé Il est un terreau bien amer, Savais-tu qu’au préau de tes rêves Chuchotait un ciel obscur, A l’écho de ton insouciance, Et que sur tes joues si creuses Un jour des lèvres se seraient meurtries. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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