Partager Posté(e) 8 juillet 2019 Je plains les Hommes Quand ils bouffent la terre, Qu'ils se noient Et qu'on se dise Que ça fera, "Sûrement", Un bon thé. Je plains les Hommes Quand je les vois tourner Comme des écrous Dans leurs vices En s'enfonçant Dans le trou De leur vis. Je plains les Hommes Quand leurs extrémités Nous rappellent des rouages Et qu'ils tournent Dans un engrenage Où ils s'oxydent Au point d'en être occis Oh oui, je plains ces Hommes Quand ils fondent Sous la pression De l'atmosphère Et que la fusion De leur peau de fer Ne serve que leur patron Mais bon, ainsi va La Mécanique de la Vie. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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