Partager Posté(e) 30 juin 2019 (modifié) Passé le petit pont je rencontrai Laurie. Son bibi sur la tête, elle était bien vivante Et moi dans mon bonheur, je dévalai la pente Des amours d’autrefois quand un cœur vous sourit. Nue sous les vêtements qui recouvraient ses armes, Laurie, primesautière au plus fort de l’été, Me décocha un trait qu’elle eût empoisonné Si son exquis parfum ne me fût comme un charme. Toute à la poésie, Laurie me régala D'une improvisation sans chichi, falbala, Une chanson de geste pour suçoter nos âmes. Tandis qu’elle disait, je m’enquis de son corps, Faisant vibrer sa peau sur deux ou trois accords D'une courbe mignonne où réviser mes gammes. Modifié 30 juin 2019 par Marc Hiver Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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