Partager Posté(e) 9 août 2018 Nous nous sommes connus à Inverness par un soir de juillet quand la lumière agresse et qu'il s'en faudrait peu pour qu'on se jette dans le Moray Firth. Ce qui me plut chez lui dès l'abord ce fut sa jupe et ses cheveux roux son accent à couper au couteau et ses yeux bleus comme des lapis-lazuli en vadrouille. Il faisait chaud, trop chaud comme en enfer quand Satan brûle ses vieilles lettres d'amour. Et puis soudain, une pluie glaciale martela nos visages comme de petites épées insolentes, des gifles inattendues, et le boulevard prit des airs de torrent furieux, et je compris enfin tout le sens de « douche écossaise ». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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