Partager Posté(e) 22 juin 2019 Ciel gris et campagne aux couleurs de l’automne Derrière la vitre du TGV défilent Je suis assis place vingt-six écrire est si futile Que j’en oublie de voir ce qui pourtant m’étonne Cette suite de prés et de maisons bretonnes Rappel de mon enfance et des heures tranquilles Quand j’étais innocent aux rêves indociles Qui sont insignifiants pour les grandes personnes Mais la réalité d’aujourd’hui est tout autre Mon enfance est enfouie et le temps révolu Le train est à l’arrêt dehors il pleut j’ai bu Le reste du coca et mangé mon sandwich Mais comment voulez-vous que nous soyons des vôtres Révoltés de Paris qui voudraient être riches Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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