Partager Posté(e) 14 juin 2019 Voilà qu'ils s'en viennent enfantés par l'époque Médiocrité en guise de mètre-étalon Ils n'abritent nulle vertu, rien ne les choque Ce serait un éloge de les nommer cons Car tandis que lui nous régale et nous ravit Ils ne produisent que bêtise et déjection Quand de la douce plissure surgit la vie Ils n'en n'ont ni la saveur ni la fonction Ils s'en trouvent pour les appeler trou du cul Voilà encore à mes yeux une grande erreur Il est vrai que comme l'orifice ils puent Mais ils ne sauraient en avoir la profondeur Ces petits chats qui dans leur miroir voient des lions Pris à parti redeviennent de grands peureux Implorant de leurs maîtres la clémence dont Ils ne font jamais preuve envers plus faible qu'eux L'homme bon est mieux seul qu'avec pareil ami Voilà la chose qu'ils ignorent ou oublient Toute l’obscurité du monde réunie Ne peut éteindre la lueur d’une bougie 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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