Partager Posté(e) 14 juin 2019 (modifié) Cher tourment de mes nuits solitaires Dévoile les lascives images Du tendre corps aux formes peu sages Chamboulant le lit voluptuaire Tes blonds cheveux mi-longs, coiffe claire, T'auréolent. Tes seins nus engagent La main à en suivre, sans ambages Les courbes dignes du statuaire; Tes hanches se dessinent en lignes Souples, larges, se creusent, désignent L'enivrante source, val foisonnant; Tu cries l'amour en toi reçut, le mords Te blottis contre ton bel amant Et quand vient le jour, en ses bras t'endors. Modifié 14 juin 2019 par Julien Ertveld Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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