Partager Posté(e) 29 mai 2019 A l’embarcadère L’argent des poissons-chats spirale dans des reflets d’airain Les pigeons affamés guettent de leur mirador rouillé les miettes de ma main Peu importe qui les dévorera Le ciel est si haut j’ai des bottes de sept lieues 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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